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Elle revient de Paris. Elle lui apprend qu’elle a « rencontré quelqu’un ».
Lui est près du feu.
Dehors, il fait déjà presque nuit. C’est la fin de l’automne. Il est 18 heures.
Le compte à rebours a commencé : il se donne vingt-quatre heures pour tenter de la convaincre de rester auprès de lui.
D’interrogations en souvenirs, d’éclats de voix en pardons, Pierre et Géraldine se déchirent, se consolent, s’éloignent, pour mieux se retrouver. Mais cette fois, c’est du sérieux… Les deux amants plongent dans le passé pour éviter de voir l’avenir.
Ce couple en péril tente de comprendre, de répondre à la question, celle que tous se sont un jour posée : comment en sommes-nous arrivés là ?
Le roman d’une rupture, c’est banal. Pour eux, et surtout pour lui, ça ne l’est pas du tout.
« Je ne connais pas, Houellebecq inclus, d’écrivain qui souffre aussi bien. Sa prose ressemble à de fines gouttes de pluie piquant la boue des flaques. » (Yann Moix, Le Figaro littéraire)
Auteur(s): Lacoche, Philippe
Editeur: Editions Ecriture
Collection: Littérature française
Année de Publication: 2015
Nombre de pages: 320
Langue: Français
ISBN: 978-2-35905-198-8
eISBN: 978-2-35905-200-8
Elle revient de Paris. Elle lui apprend qu’elle a « rencontré quelqu’un ».
Lui est près du feu.
Dehors, il fait déjà presque nuit. C’est la fin de l’automne. Il est 18 heures.
Le compte à rebours a commencé : il se donne vingt-quatre heures pour tenter de la convaincre de rester auprès de lui.
D’interrogations en souvenirs, d’éclats de voix en pardons, Pierre et Géraldine se déchirent, se consolent, s’éloignent, pour mieux se retrouver. Mais cette fois, c’est du sérieux… Les deux amants plongent dans le passé pour éviter de voir l’avenir.
Ce couple en péril tente de comprendre, de répondre à la question, celle que tous se sont un jour posée : comment en sommes-nous arrivés là ?
Le roman d’une rupture, c’est banal. Pour eux, et surtout pour lui, ça ne l’est pas du tout.
« Je ne connais pas, Houellebecq inclus, d’écrivain qui souffre aussi bien. Sa prose ressemble à de fines gouttes de pluie piquant la boue des flaques. » (Yann Moix, Le Figaro littéraire)